Nom : Eriksen, nom qu’elle s’est choisie
Prénom : Sara
Surnom : Patronne, Mme Sara, la belle et autre sobriquet pour l'interpellé dans sa taverne
Lieu de naissance : inconnue
Race : Humaine
Métier : tenancière de l’auberge des Deux cheminées
Sexe : féminin
Date de naissance : inconnue
Age : la quarantaine
Taille : 1m65
Poids : 56 kg
Particularités : ne sais pas lire
Craintes éventuelles : aucune de particulière
Animaux : *une chatte tricolore bleu, blanche et crème nommée Xérès, très grande et aux poils abondent, elle à probablement du sang de chat Winghox
*une vieille chienne, de type mâtin, noire, nommée Absinthe
*un jeune chien, de type mâtin, beige et brun, nommé Whisky
Religion : elle ne prit presque jamais, mais ne doute pas de l'existence des dieux
Description physique : Des courbes de rêves, un bustier généreux et une chute reins à faire rougir un moine, Sara est à n’en pas douter une rousse particulièrement plantureuse. Dotant plus qu’elle est dotée d’un port de reine. Ses cheveux bouclés, qu’elle porte long, encadre un visage pâle rehaussé de taches de rousseur et d’une bouche vermeille. Ses prunelles noisettes ont également une lueur mutine tout à fait exquise, qui as plus d’une fois détourné un ivrogne de sa chope vide. Cependant la course des saisons ne la pas laissée indemne. Sa peau n’est plus aussi ferme que lors de sa prime jeunesse et de petites rides d’expression sont apparue autour de ses yeux et de sa bouche.
Description morale : Sara fait preuve d’une grande subtilité acquise au fil du temps en trempant dans des affaires pas toujours légales. D’ailleurs il n’est pas nécessaire de lui demander un coin discret dans son auberge pour « discuter en toute innocence », elle vous y conduit d’elle même, moyennant quelque rétribution évidemment.
Par conséquent, elle se révèle dur en affaire dotant plus qu’elle manie particulièrement bien les chiffres à défaut de connaître ses lettres.
D’une nature enjouée elle se laisse rarement submerger par la colère ou la tristesse. Elle est par contre doté d’un vocabulaire assez imagé dont elle s’enorgueille en toute occasion, notamment en l’utilisant. Dans le même ton, il est utile de savoir qu’elle se montre parfois provocante, voir dévergondé. Heureusement, elle est également capable d’être d’une grande distinction et sévérité, mais seulement si cela s’avère nécessaire. Ce qui la connaisse intimement vous dirons aussi qu'elle est plus mélancolique qu'il n'y parait.
Morceau de parcours : Sara faisait partie de ces nombreux enfant des rue peuplant les villes du Nord. Née de parents inconnues, qu’elle ne tenta jamais de retrouver, elle mendia jusqu'à l’âge de 8 ans puis devint vendeuse à la sauvette bien qu’elle rêvât de faire du théâtre où elle se serait certainement illustré.
A cette époque elle rencontra Erik, chef charismatique d’une guilde de voleur de petite envergure. Il l’a recueilli et lui apprit ce qu’il savait du domaine le plus approprier à ses capacité. Son manque de discrétion et de forme physique aurait d’elle une piètre tire-laine, aussi fut elle chargé de la diversion pendant que ses comparses faisait les poches des badauds. Sara se révéla assez douée dans ce domaine lui permettant de goûter un peu à la gloire des comédiens, mais elle se contentait la plupart du temps de quelques tours de cartes sur lequel d’innocents citadins pariaient et perdaient, invariablement. Elle les pratique aujourd’hui encore pour amuser les clients de son auberge.
Cependant, toute bonne chose ayant une fin, Erik mourut de façon obscure bien que Sara soupçonna l’empoisonnement. Il eut malgré tout le temps de confier la jeune fille à une de ses connaissances peu recommandable qui l’initia au métier du trottoir. Elle garde de cette période de mauvais souvenirs, quelques cicatrices, et l’impossibilité de porter un enfant.
Sara parvint à se sortir de cette situation grâce à l’aide providentiel d’un marchand aisé lui trouvant du charme. Il lui offrit logement et nourritures et comblât ses autres besoins moins substantiels. Une relation ambigu s’installa entre eux : lui désirant en faire sa maîtresse, elle cherchant essentiellement la fortune. Au fils des ans elle finit par l’appréciez et leurs couple se fit plus stable, presque harmonieux. Mais le temps passant leurs émotions s'apaisèrent, l’ennuie s’installa d’autant plus que la beauté de Sara se flétrissait, et ils se quittèrent.
Grâce à la générosité de son bénéficiaire elle pu ouvrir une petite auberge, nommées Aux deux cheminées, dans la capitale qu’elle agrandit petit à petit en fonction de ses gains.