N'qâta, poste frontière
Ceint de hauts remparts attentivement gardés, N'qâta sert à la fois de refuge pour les paysans Ohime et de poste frontière avant la grande chaîne montagneuse des Obsidiennes.
Depuis les montagnes, vous ne verrez de N'qâta que des pierres austères et solidement gardées d'où surgissent parfois d'immenses tours de garde. Mais depuis le Nibil, en dehors des remparts, vous aurez sous les yeux une toute autre version du village. Car les rizières verdoyantes et les nombreux arbres fruitiers tels que les dattiers font de cette partie du village un petit paradis accroché aux frontières du désert. Magnifique depuis l'une de ses faces et impressionnant depuis son revers, ce village vous réservera pourtant une hospitalité fidèle à ses habitants Ohimes.
À l'intérieur de ses murs, vous découvrirez un parterre de tentes s'étalant à perte de vue. Il s'agit des abris de fortune érigés par les très nombreux paysans des environs. Mais n'allez pas croire à un quelconque reflet de leur pauvreté, car les Ohimes ont d'eux-même choisi ce confort. Greffé sur une étroite bande de terre fertile en bordure du Nibil, N'qâta bénéficie en effet d'un climat bien plus doux qu'à Ohime Quinah.
Quelques bâtiments cependant sont faits de pierres aux couleurs du désert : ce sont les quartiers militaires. De hautes tours depuis lesquelles veillent des éclaireurs au regard perçant dominent le village. Elles sont les premiers témoins des tempêtes de sable, mais également de l'approche des caravanes venues du désert, des Ranaï, des barbares, ou des voyageurs égarés. Les sentinelles organisent alors, depuis leurs hauteurs, les secours à porter ou les évacuations à effectuer... voir des défenses à mettre en œuvre ! Car les archers profitent aussi de leur position pour repousser toute menace extérieure facilement.
Enfin, N'qâta s'est improvisé poste frontière. Car ils sont de plus en plus nombreux à venir de l'est. Des hommes, des femmes ayant bravé les Obsidiennes pour commercer ou découvrir d'autres civilisations.
Si c'est de là que vous venez, alors soyez les bienvenus à N'qâta ! Mais n'espérez pas obtenir la moindre information sur le peuple Ohime, méfiant et prudent - bien que curieux - envers les étrangers.
Depuis les montagnes, vous ne verrez de N'qâta que des pierres austères et solidement gardées d'où surgissent parfois d'immenses tours de garde. Mais depuis le Nibil, en dehors des remparts, vous aurez sous les yeux une toute autre version du village. Car les rizières verdoyantes et les nombreux arbres fruitiers tels que les dattiers font de cette partie du village un petit paradis accroché aux frontières du désert. Magnifique depuis l'une de ses faces et impressionnant depuis son revers, ce village vous réservera pourtant une hospitalité fidèle à ses habitants Ohimes.
À l'intérieur de ses murs, vous découvrirez un parterre de tentes s'étalant à perte de vue. Il s'agit des abris de fortune érigés par les très nombreux paysans des environs. Mais n'allez pas croire à un quelconque reflet de leur pauvreté, car les Ohimes ont d'eux-même choisi ce confort. Greffé sur une étroite bande de terre fertile en bordure du Nibil, N'qâta bénéficie en effet d'un climat bien plus doux qu'à Ohime Quinah.
Quelques bâtiments cependant sont faits de pierres aux couleurs du désert : ce sont les quartiers militaires. De hautes tours depuis lesquelles veillent des éclaireurs au regard perçant dominent le village. Elles sont les premiers témoins des tempêtes de sable, mais également de l'approche des caravanes venues du désert, des Ranaï, des barbares, ou des voyageurs égarés. Les sentinelles organisent alors, depuis leurs hauteurs, les secours à porter ou les évacuations à effectuer... voir des défenses à mettre en œuvre ! Car les archers profitent aussi de leur position pour repousser toute menace extérieure facilement.
Enfin, N'qâta s'est improvisé poste frontière. Car ils sont de plus en plus nombreux à venir de l'est. Des hommes, des femmes ayant bravé les Obsidiennes pour commercer ou découvrir d'autres civilisations.
Si c'est de là que vous venez, alors soyez les bienvenus à N'qâta ! Mais n'espérez pas obtenir la moindre information sur le peuple Ohime, méfiant et prudent - bien que curieux - envers les étrangers.
Idées par Akh Or Naphret et Seby, texte par Seby, mise en page par Komodor
Sources des images:
Bannière (vue depuis les Obsidiennes): Mariah's Town by DaMaupin
Vue éloignée: Ancient Mesopotamia by jbrown67
Rues: Desert Camp by JackEavesArt
Poste Frontière: The Khaju Bridge by IRCSS