Précédemment
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La situation était des plus étranges, la vieille dame semblait partagée entre la joie et la tristesse d'être ainsi séparée de sa progéniture, mais Shara ne voulait pas vraiment comprendre, elle était fatiguée et surtout elle avait mal partout. Elle se tenait les côtes, mal fagotée pour avoir eu du mal à remettre des vêtements et était donc plutôt recroquevillée sur elle-même.
Bernard leur avait conseillé l'herboristerie pour qu'elle puisse se soigner, s'ils voulaient aussi acheter l'objet magique dont avait parlé le guérisseur pour pouvoir parler tout en restant louve! Ce serait plus pratique pour elle après tout. Enfin, dans un premier temps, les soins étaient les plus importants, aussi ils allèrent chez l'herboriste d'abord. Elle s'était sentie soulevée par le grand lion gris, et elle s'était alors encore plus recroquevillée sur elle-même, n'osant pas le toucher, les poils de son torse lui chatouillaient le nez et elle commença à éternuer.
Cela ne dura pas longtemps, heureusement, Bernard poussa la porte de l'herboriste et rapidement la louve se sentit chez elle. De l'herbe au sol, des plantes un peu partout, c'était comme si elle était en forêt! Ses yeux brillèrent un peu alors que la petite cloche tintait pour signaler leur présence...
«Mademoiselle Belladona? Il y a des clients pour vous!» dit Bernard avec une certaine assurance...
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La situation était des plus étranges, la vieille dame semblait partagée entre la joie et la tristesse d'être ainsi séparée de sa progéniture, mais Shara ne voulait pas vraiment comprendre, elle était fatiguée et surtout elle avait mal partout. Elle se tenait les côtes, mal fagotée pour avoir eu du mal à remettre des vêtements et était donc plutôt recroquevillée sur elle-même.
Bernard leur avait conseillé l'herboristerie pour qu'elle puisse se soigner, s'ils voulaient aussi acheter l'objet magique dont avait parlé le guérisseur pour pouvoir parler tout en restant louve! Ce serait plus pratique pour elle après tout. Enfin, dans un premier temps, les soins étaient les plus importants, aussi ils allèrent chez l'herboriste d'abord. Elle s'était sentie soulevée par le grand lion gris, et elle s'était alors encore plus recroquevillée sur elle-même, n'osant pas le toucher, les poils de son torse lui chatouillaient le nez et elle commença à éternuer.
Cela ne dura pas longtemps, heureusement, Bernard poussa la porte de l'herboriste et rapidement la louve se sentit chez elle. De l'herbe au sol, des plantes un peu partout, c'était comme si elle était en forêt! Ses yeux brillèrent un peu alors que la petite cloche tintait pour signaler leur présence...
«Mademoiselle Belladona? Il y a des clients pour vous!» dit Bernard avec une certaine assurance...