Précédemment : Loin des yeux
Après avoir cherché ses enfants en vain dans une ruelle commerçante, Archélas avait fini par changer d'avis. Puisqu'il était loin de posséder l'odorat de son épouse ou de ses enfants, il était inutile de perdre son temps à chercher avec ses yeux une cachette qu'il était peut-être trop grand pour voir. Il avait donc fait demi tour au pas de course, se souvenant d'un message qu'un vulnae lui avait transmis quelques semaines plus tôt.
« Monsieur Cordylus !!! J'ai un bon pour un familier gratuit, je voudrai... un... un orios s'il vous plaît ! Un avec un bon flair ! »
Que Sayah soit là ou pas, caché dans un coffre ou derrière une étagère, Archélas savait d'expérience qu'il finirait par apparaître comme par enchantement devant lui. L'air fâché de rater une bonne affaire et de ne pas voir son client du jour sursauter, mais peu lui importait. Le soldat posa son panier sur le comptoir, et le bon pour le familier gratuit par-dessus.
« J'ai une piste à lui faire suivre, nous dirons que ce sera son test. S'il trouve ce que je cherche, je vous le prends et je reviendrai pour ses accessoires. »
Lui qui comptait économiser... mais un familier sans accessoires, ce n'était pas aussi pratique.
« MONSIEUR CORDYLUS !?? » Rappela-t-il avec une angoisse très mal dissimulée.
Après avoir cherché ses enfants en vain dans une ruelle commerçante, Archélas avait fini par changer d'avis. Puisqu'il était loin de posséder l'odorat de son épouse ou de ses enfants, il était inutile de perdre son temps à chercher avec ses yeux une cachette qu'il était peut-être trop grand pour voir. Il avait donc fait demi tour au pas de course, se souvenant d'un message qu'un vulnae lui avait transmis quelques semaines plus tôt.
« Monsieur Cordylus !!! J'ai un bon pour un familier gratuit, je voudrai... un... un orios s'il vous plaît ! Un avec un bon flair ! »
Que Sayah soit là ou pas, caché dans un coffre ou derrière une étagère, Archélas savait d'expérience qu'il finirait par apparaître comme par enchantement devant lui. L'air fâché de rater une bonne affaire et de ne pas voir son client du jour sursauter, mais peu lui importait. Le soldat posa son panier sur le comptoir, et le bon pour le familier gratuit par-dessus.
« J'ai une piste à lui faire suivre, nous dirons que ce sera son test. S'il trouve ce que je cherche, je vous le prends et je reviendrai pour ses accessoires. »
Lui qui comptait économiser... mais un familier sans accessoires, ce n'était pas aussi pratique.
« MONSIEUR CORDYLUS !?? » Rappela-t-il avec une angoisse très mal dissimulée.